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On dit qu’à quinze ans 
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On dit que je n’ai pas d’esprit 
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On dit que le diable est céans, ou le maître de cette maison 
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On doit soixante mille francs, ou c’est ce qui me console 
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On la relèvera, la rira, du péché de paresse (voyez air du curé de Pomponne).
On m’a demandé souvent 
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On m’avait vanté la guinguette (voyez vaudeville de Gilles en deuil).
On me cherche, on m’aime, on m’adore 
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On nous dit qu’ dans le mariage, ou tout comme a fait ma mère 
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On nous dit que l’premier homme 
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On parle de philosophie 
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On peut s’abaisser à surprendre (voyez si l’on pouvait rompre la chaîne).
On peut trouver du plaisir (voyez il est des amusemens).
On se presse toujours trop tôt, ou la chose ne vaut pas le mot 
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On va lui percer le flanc (voyez r’lan, tan, plan, tire lire).
On vous les mène par le nez (voyez Femme qui chérit la sagesse).
Or écoutez, petits et grands (voyez air des pendus).
Où allez-vous, monsieur l’abbé (voyez vous m’entendez bien).
Où s’en vont ces gais bergers 
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Où vont tous ces preux chevaliers 
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Oui, ce Colinet, ou tendre fruit des pleurs de l’aurore 
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(Les mouvemens de ces deux airs sont bien différens ; voyez Tendre fruit des pleurs de l’aurore).
Oui, je suis soldat, moi (voyez oui, j’aime à boire moi).