Page:Capelle - La Clé du caveau, 1811.djvu/402

Cette page a été validée par deux contributeurs.
Cocu, cocu, mon père, (voyez air du carillon de Dunkerque).
Cœurs sensibles, cœurs fidèles 
 98
Colin disait à Lise un jour, ou n’en demandez pas davantage 
 99
Colinette au bois s’en alla 
 100
Comme v’là qu’est fait ! 
 101
Comme je suis frais et dispos (voyez vaudeville de la Soirée orageuse).
Comme le vin rajeunit la vieillesse (voyez air de la walse du pauvre diable).
Comme j’aime mon Hypolyte (voyez fuyant et la ville et la cour).
Comme faisaient nos pères (voyez j’ commençons à m’apercevoir).
Comme faisait maîtresse (voyez un motif plus puissant je pense).
Comme Tancrède, pour devise 
 102
Comment goûter quelque repos 
 103
Connaissez-vous l’amiral Anson, ou tout le long, le long, le long de la rivière 
 140
Conservez bien la paix du cœur 
 106
Consolez-vous avec les autres, ou je n’ai trouvé que des ingrats 
 107
Contentons-nous d’une simple bouteille, ou la comédie est une grande salle 
 105
Contre les chagrins de la vie, ou air de la pipe de tabac 
 108
Courez vite, prenez le patron 
 109
Courons de la brune à la blonde 
 110
Craignez l’erreur qui vous entraîne (voyez jetez les yeux sur cette lettre).
Croissez, vigne et fillettes joliettes (voyez lorsque Dieu fit Adam).
Croyez-moi, buvons à longs traits 
 111
Cupidon, las de ses folies (voyez air du mariage de l’amour).