Page:Capelle - Heures de prison.djvu/322

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

S’il faut que je vive, il faut aussi que mes efforts labourent, que mes sueurs fertilisent ce talent qui m’a été confié et qui se délaye dans mes larmes… Le doigt de Dieu a donné l’impulsion à mon cœur. Je ne précipiterai ni ne retiendrai un seul de ses battements. La balance de Dieu a mesuré le temps à mon être. Je ne perdrai plus un seul de mes jours.


FIN.