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mon oncle ! bonjour ! cria-t-il à Jean-Charles, en déposant sur le plancher tout le bataclan qu’il portait dans ses bras et sur son dos.
Il était chargé comme un mulet…
Jean-Charles paya le prix que Portugais lui demanda, et, de plus, le récompensa généreusement.
Le printemps suivant, ce fut Jean-Charles qui tua la première bécassine… mais les journaux — fidèles à la vieille coutume — annoncèrent que c’était Portugais qui l’avait tuée… et Jean-Charles ne réclama point !
Voilà pourquoi… Portugais aima toujours « mon oncle le muet, » comme il appelait notre héros.