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AMOURS ET PRIAPÉES


Il sent, voyant au bain les odalisques nues,
De stériles ardeurs, des flammes inconnues,
Et sa chair de désirs sans espoir a frémi.

Sur un tapis de Perse il s’assied, tout en larmes,
Et veut en vain gonfler, le cœur plein de leurs charmes,
Son membre qui retombe, à jamais endormi.