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AMOURS ET PRIAPÉES


Le sommeil vint changer la rêverie en rêve…
Tu te laissas tenter, Ô blanche fille d’Ève !
Le plaisir ou l’amour t’enferma dans mes bras ;

Je t’accablai des noms qu’on donne à sa maîtresse,
Et ton lit fut témoin de ma dernière ivresse ;
Mais, le réveil venu, je ne t’y trouvai pas !