Page:Cantel - Amours et priapées, 1869.djvu/68

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
48
AMOURS ET PRIAPÉES


Ô femme ! courtisane ou vierge,
Vers toi l’homme porte son cierge,
Pour éclairer votre union.

Ton lit est l’odorante église
Où tout amant s’emparadise
Dans l’humaine communion !