Page:Cantel - Amours et priapées, 1869.djvu/46

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
26
AMOURS ET PRIAPÉES


Coupe où l’humanité vient boire !
Coupe où le cœur perd la mémoire
Dans le vin brûlant du plaisir !

Je veux que ma lèvre jumelle,
Ivre d’une soif éternelle,
Te tarisse en un long soupir !