Page:Cantel - Amours et priapées, 1869.djvu/36

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
16
AMOURS ET PRIAPÉES


Une ardente et mystique rose
Que le feu de jeunesse arrose,
Tressaille et jamais ne repose

Sous les touffes d’un frais bosquet…
Que ne puis-je, en ton lit coquet,
Des trois roses faire un bouquet !