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AMOURS ET PRIAPÉES


L’artiste et le poëte ont seuls ce don charmant
De déchirer de loin voiles et vêtement,
Pour baiser au grand jour la beauté toute nue.

J’ouvre l’écrin vivant de tes secrets bijoux ;
Mes doigts semblent palper ta cuisse, tes genoux,
Et jusqu’au clitoris ma langue s’insinue.