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AMOURS ET PRIAPÉES


De ses boucles s’exhale une odeur printanière,
Mélange de verveine et de myrtes fleuris,
Que respire l’amour dans l’ivresse des nuits.

Mais ces longs cheveux noirs dont elle était si fière,
Dont sa pudeur pouvait se faire un vêtement,
Sont tombés sous la main jalouse d’un amant.