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AMOURS ET PRIAPÉES
Un Priape, à travers le feuillage d’un arbre,
Ouvrait, en souriant, ses prunelles de marbre ;
Et la vierge, le sein enflé d’un doux émoi,
S’approche, rougissante et la joue enflammée,
Entoure de ses bras la statue, et pâmée,
S’écrie : « Oh ! je me meurs ! Vénus, pardonne-moi ! »