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AMOURS ET PRIAPÉES


» Le bain, que mon corps seul parfume, en s’y plongeant,
Ne lave aucune poudre ou de riz ou d’argent :
L’eau frissonne, en léchant mes formes désirées.

» Mes deux jambes, chemin d’un frais mont de Vénus,
Mènent, parmi les lys, à cette rose moite,
Prête aux baisers, qui n’a besoin, pour être étroite,
Ni de vinaigres fins, ni de sels inconnus, »