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AMOURS ET PRIAPÉES


Si l’on boit un baiser dans son tiède calice,
On goûte, volupté, ton enivrant supplice,
On y suspend son âme, et l’on se sent pâmer.

Ô femmes ! votre cœur sur vos lèvres soupire,
Et l’amant qui vous aime à la hâte respire
Cette fleur que l’oubli tôt ou tard doit fermer !