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AMOURS ET PRIAPÉES


Jetant les bras au vent, tordant tes reins cambrés,
Tu dardes les éclairs de tes yeux enivrés,
Dans les nerveux élans de ta danse hardie.

Le désir mord les cœurs qu’a vaincus ta beauté,
Car, pour laisser la foule ivre de volupté,
De ta robe déborde une épaule arrondie.