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röslein

 

Ô ma rose bien-aimée
Que je n’ai pu recevoir
En mes mains toutes pâmées,
Je veux te revoir.

Sans toi j’ai repris ma route,
L’âme triste, les yeux clos,
Le cœur dévoré de doutes,
Grevant de sanglots…

Que m’importent les fleurettes,
Étoiles des verts buissons,
Je n’entends plus l’alouette
Aux claires chansons.

Plus n’entends les mandolines
Ni les grêles carillons,
Ni les flûtes cristallines
Ni les violons,