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Dulaunoy s’y opposa formellement. Elle défendit contre son frère, contre son mari, et contre l’intérêt même de sa réputation, cette jeune orpheline, qui, depuis, l’en a bien récompensée. Mais ses querelles journalières avec Dulaunoy énervaient son courage, et multipliaient les pertes dont la révolution frappait sa maison de commerce. Mademoiselle d’Hauterive avait doublé sa fortune, tant qu’un nom estimé, tant que sa volonté seule dirigeaient ses calculs, et favorisaient ses opérations ; mais de l’instant où l’imbécille Dulaunoy entreprit de la seconder, de la remplacer dans la tenue des livres et