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peut-être de ce combat douloureux, elle me serra la main plus fortement, et me dit d’une voix tout-à-fait éteinte : Ma chère Yvelin, mon amie, parle de moi à mon père… à Adalbert…… que mon père pardonne si Adalbert est plus……… Elle ne pouvoit plus prononcer ; je crus voir des larmes couler sur son visage ; je voulus les essuyer ; quand je retirai ma main, ses yeux étoient fermés ; ils ne se rouvrirent plus !

FIN DU TOME SECOND ET DERNIER.