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de ne pas se perdre dans l’esprit d’un homme dont la réputation en imposoit parmi ses camarades, et Charleville, jeune homme moins agréable, mais doué des plus excellentes qualités, pour lequel Adalbert avoit une véritable amitié, devint bientôt le correspondant de confiance. Une partie de l’histoire que nous voulons raconter, se trouve dans leur correspondance dont nous allons rapporter tout ce qui n’est pas absolument étranger à cette histoire. Nous supprimons d’abord un lettre où Adalbert donne à son ami les détails que nous avons déjà donnés sur le comte de Savigny et sa famille ; et nous arrivons tout de suite à celle où il se décide à faire une entière confidence de la situation de son cœur.