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Dès l’âge de vingt-cinq ans, la reine ne se livrait plus à la parure, excepté les jours de grande réunion à la cour, et les jours de cérémonie.
97

Fausse démarche de M. Augeard, secrétaire des commandemens de la reine et fermier-général, qui fit croire que cette princesse disposait de tous les emplois de finance. — La reine en est affligée, et fait rendre justice à des particuliers qui avaient réclamé auprès d’elle plusieurs de ces emplois qui leur étaient dus.
99

La reine se fait la protectrice du chevalier d’Orville qui sollicitait en vain depuis quatre ans, auprès du ministre de la guerre, une place de major ou de lieutenant de roi.
101

Mot plein de sensibilité adressé par la reine à M. Loustonneau, lorsqu’il fut nommé premier chirurgien du roi.
102

Appréhensions de la reine, lors de la convocation des états-généraux.
104

Extrait des différentes lettres de madame Campan, première femme de chambre de la reine, du 5 octobre au 31 décembre 1789.
106

Opinion de la reine sur la noblesse.
111

Fautes politiques qui ont amené la révolution française.
112

Contestation entre l’empereur Joseph II et les Provinces-Unies.
121

Anecdotes diverses.

La femme de Lamotte a causé en grande partie les malheurs de Marie-Antoinette. — Effronterie d’une jeune fille qui prétendait avoir été séduite par M. Baret, curé de Saint-Louis.
127

L’abbé de cour.
132

Sur la cour.
133