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Que devient P… ? Pas de nouvelles depuis quatre mois bientôt.

Kenevo, car je n’ai pas grand temps. À bientôt de vos nouvelles.

Hou kilé karanteus é Doué ha Breiz[1].

J. CALLOC’H.



À M. Pierre Mocaër.

Lorient, le 13 Août 1915.
Cher ami,

Je suis de retour au dépôt, c’est-à-dire à Groix. Huit jours de permission. Je quitte Lorient pour Nantes, le 24 Août, à 1 heure 1/2. Pourrai-je vous voir d’ici là ? — De préférence vers la fin de la semaine (prochaine), ou bien mardi en huit. Comme vous voudrez. Je vous confierai le pauvre « dépôt » que je vous remercie de vouloir bien accepter.

Merci de vos brochures. Reçues, avec votre lettre, comme nous préparions l’examen, je n’ai guère eu le temps de vous faire mon compliment avant aujourd’hui. Pourriez-vous disposer d’un second exemplaire en faveur de R. Le Roux ? Votre étude sur l’enseignement au Pays de Galles[2] l’intéressait fort. La préface de Loth, résumé des idées que celui-ci nous exposa longuement à tous deux, lui fera plaisir aussi. Si vous voulez je me chargerai de l’expédition.

Été chez M… Personne. Où est-il ? Et D… ?

  1. Votre ami affectionné en Dieu et la Bretagne.
  2. Un exemple à suivre : l’Enseignement bilingue au Pays de Galles, brochure parue en 1915 (Le Bayon-Roger, Lorient).