et les lieux de plaisirs. Balloté, suivant ses propres
expressions, comme sur une mer agitée, pleine de
rochers cachés, il avait cherché des îlots pour jeter
l’ancre, y attacher sa barque, et laisser reposer
quelque temps son corps et son esprit près de
défaillir. Il en avait trouvé trois qu’il aimait par
dessus tout et qu’il fréquentait : L’île des Pauvres,
c’est-à-dire, l’Eglise de Notre-Dame-des-Victoires ;
L’île des Nations (l’Église du Sacré-Cœur) ; L’île des Anges
(La Chapelle des Bénédictines de la rue
Monsieur).
Si Calloc’h avait voue sa vie à la Bretagne, il était prêt aussi à la sacrifier pour elle. Il n’avait aucune peur de la mort : quoiqu’il eût le pressentiment qu’il était destiné à tomber avant peu sur le champ de