Page:Calloch - A Genoux.djvu/151

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Maintenant tout cela est changé. — Nous étions six alors, Sainte Marie : — Nous ne sommes plus que trois.

La Mort a frappé à la porte, — Elle est entrée : — Notre bonheur est parti dans un cercueil — Dormir au cimetière de la paroisse… — Et en moi un barde naquit. — La Mort a frappé à la porte… — Je ne pleurerai pas !

Je ne pleurerai pas ! J’ai trop pleuré — Alors, hélas ! — Et j’aurais envie de le faire encore, — Tellement il y a de malheur autour de mon foyer ! — Mais il faut être fort pour demain. — Je ne pleurerai pas ! J’ai trop pleuré : — Heures perdues.