Eberlin ; et par notre collaborateur Georges Delahache ;
cahiers de notre collaborateur Edmond Bernus pour les
Polonais rendus Allemands et Prussiens ; cahiers de nos
collaborateurs Pierre Mille et Félicien Challaye pour les
nègres du Congo français et de l’ancien Congo léopoldien ;
et en ce moment même je crois qu’on nous prépare
un cahier pour les nègres des possessions portugaises.
§. — Certes je ne regrette rien et si ces cahiers étaient à refaire je les referais tous. Et j’espère que nous en referons encore bien d’autres, des pareils. Mais je demande : Pourquoi nous demande-t-on de nous émouvoir pour tous les peuples opprimés, excepté pour un seul, qui est comme par hasard un peuple français.
§. — Je le demande particulièrement et en quelques mots à notre collaborateur Félicien Challaye, qui travaille beaucoup dans les peuples opprimés et qui en est devenu une sorte de professionnel. Challaye a trouvé ici toute latitude pour défendre les peuples opprimés qui sont ses clients. Admet-il ou n’admet-il pas qu’on doive défendre aussi le peuple opprimé d’Alsace et le peuple opprimé de Lorraine.
§. — J’en dirai autant, ou plutôt j’en demanderai autant à notre maître M. Gabriel Séaille ou Séailles, (on