Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Noella (rougissante)
Encore un instant, chevalier, demeurons au milieu de tous ces braves gens dont la joie fait plaisir à voir.
Brann
Ma bien-aimée, en pensant que nous nous aimerons tout à l’heure, mon cœur se gonfle comme la mer à l’approche de la tempête ; venez, mes lèvres ont soif de vos lèvres.
Noella
Je vous dois obéissance ; moi aussi je vous aime, je vous suis.
- (Elle envoie un baiser à son père qui cache mal son émotion).
FIN