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CHATEAU -GAILLARD i protection ; dites- lui cela seulement. ) la entrer dans mon oratoire, dit Julie .

était un peu sombre ; madame de Val

vitant l’étrangère à s’asseoir, la regarda r essayer de la reconnaître, ou pour se

remière impression . Elle ne se souvenait ir jamais vue ; mais la première impres as mauvaise .

ouvait en présence d’une femme qui lui

une quarantaine d’années, et être violem

qui était vêtuemodestement, en voya

enveloppée d ’ailleurs, et qu’il devait être

le reconnaître, lorsqu ’ elle rabattait sur son

oile anglais bleu , qu’ elle venait, en en

eter sur ses épaules. ne, lui dit l’étrangère, j’ai d ’abord mille pus faire... sans votre réputation de bonté Eté... sans l’excès de mon malheur, je

mais osé cette démarche. Il n’est pas dans

ère , ni dans mes. habitudes , hélas ! de

s témoins de ma honte... ni d’implorer

our des misères que j’ai méritées... Voilà inze ans que je souffre... que j’expie ... sans doute, n ’est pas encore à la hauteur

.. des crimes... — mais... mais ... oh ! c’est , madame, et je ne peux plus...

madame, et ce que je pourrai faire pour nement je le ferai. - iens pas seulement à vous comme Fran

s qu’alors c ’est à monsieur votre mari ou

Celier que j’aurais dû m ’adresser... et je