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cet inconvénient, nous étions si serrés, que nous ne pouvions nous remuer ; mais la nécessité était si grande, que nous nous hasardâmes dans cet état sur une mer aussi orageuse, et sans que personne d’entre nous eût la moindre connaissance de la navigation[1].

  1. Ferdinand de Soto, en passant dans cet endroit y trouva encore les carcasses des chevaux et un arbre creusé qui avait servi de mangeoire. Voyez la relation du gentilhomme d’Elvaz, chap. XI, et Garcilasso, liv. in, chap. v.