tins, 473. — Les lois qui régissent tous les viscères abdominaux, leur sont évidemment communes avec les organes de la pensée ; exemples produits, 492. Voyez Organes.
Voix. Elle est fausse pour le chant, lorsque l’ouïe est fausse ; maladies qui tantôt rendent le chant faux, et tantôt produisent l’inverse, I, 525. — Effets des intonations de la voix parlée, II, 424.
Volonté. À quoi peuvent tenir ses désordres, II, 439. — Ses effets pendant le sommeil, 468. — D’où elle naît, 490.
Vue. Sa description, I, 215. — C’est par la vue et par l’ouïe que nous viennent les connoissances les plus étendues, et la mémoire de ces deux sens est la plus durable comme la plus précise, 226. — Comment la vue est produite, 229. — Deux circonstances principales, dans les opérations de l’œil, influent beaucoup sur leur caractère, 230. — Preuve que ce sens a sa mémoire propre, 232, note. — Maladies de l’organe de la vue qui dépendent d’altérations locales dans la sensibilité de l’organe même, 525. — Les viscères abdominaux influent sur ses opérations, Il, 385. — Comment la vue est un instrument extérieur de la sympathie, 414. — Effets de la vue blessée par imagination, 440.
Yeux. Voyez Œil et Vue.
