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position, servent au développement et à la fructification des végétaux, 310. — Les os de tous les animaux forment, dans le sein de la terre, des bases de matière calcaire très propres à hâter et à perfectionner la végétation, 312. Ce qui arrive, si I’on réduit en poudre grossière des matières végétales riches en mucilage, et si on les abandonne à leur décomposition spontanée. 312. — Effets de l’attraction élective dans les affinités végétales, 319. — Ce qui arrive dans la formation d’un végetal, 320, 322. — Centre de gravité qui s’y forme et s’y développe. 321.

Végétation. Observations particulières de physique végétale, I, 151, note. — Sur l’organisation des végétaux, principe ou faculté vivifiante, 245. — Opérations sur la végétation, 251. — Les charpentes osseuses de tous les animaux forment dans la terre des bancs de matière calcaire, qui est très-propre à hâter et à perfectionner la végétation, II, 311.

Vents. Effets de ceux pestiférés qui soufflent sur les bords du golfe Persique, II, 40.

Viande (jus de) rendu au lieu de sang, par une hémorragie, I, 255.— Les substances animales ont sur l’estomac une action plus stimulante que les végétaux, II, 58.

Vie, Vitalité. Le mouvement est pour l’homme le véritable signe de la vitalité, I, 93. — Ce qu’Hippocrate a dit de la vie, 280. — Le bien-être n’est pas toujours dans un rapport direct avec l’énergie vitale, 289, note. — Ce qu’a dit à ce sujet Cardan, 290, note. — Comment la vie est entière, 292. — Chez les animaux les plus parfaits, la vie est imprimée par les nerfs, quoiqu’elle s’exerce dans des parties qui sont sans nerfs, 415. — La vie individuelle est dans les sensations, 475. — Observations des phénomènes de la vie, II, 11. — Ce que c’est que vivre, 137. — De la vie animale, 287. — Les anciens ont dit que si la vie est la mère de la mort, la mort, à son tour, éternise la vie, 198. — Comment on peut suivre les changemens que subit la matière dans le passage de la mort a la vie, et dans celui de la vie à la mort, 299. — Exemples, 300.

Vieillard. Tableau touchant de sa décadence, de sa chute et de son anéantissement, jusqu’au repos éternel que la nature a ménagé à tous les êtres comme une nuit calme après un tour d’agitation, I. 302, 303. — Pourquoi, chez les vieillards, les impressions les plus récentes s’effacent aisément, pourquoi celles de l’âge mûr s’affaiblissent, tandis que celles du premier âge redeviennent, au