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— Sa peinture trait pour trait, 461, 462. — Influence particulière alors des organes de la génération, ibid. — Ce qu’ont établi les anciens sur ce qui constitue chacun des quatre tempéramens, 464 et 465, notes. — Ce que c’est que le tempérament musculaire, 473. — Admission de six tempéramens au lieu de quatre, et leur désignation, 479. — Résultat de leur mélange et de leur complication, 480. — Quel peut être le meilleur tempérament, 481. — Comment il peut dépendre des habitudes seules, 483. — Chez quelles races d’hommes se rencontrent les tempéramens, dont l’empreinte est la plus ferme et la plus nette, 484. — Chez les anciens Grecs, les tempéramens étoient bien plus marqués et bien plus distincts, 485. — Influence des climats sur les tempéramens, II, 195. — Faits qui le prouvent, tirés d’Hippocrate, 198. — Il a déterminé le genre de climat qui produit le tempérament appelé pituiteux, 202. — Effets des climats froids sur les tempéramens, 204. — Effets des climats brulans sur le tempérament, 206. — Il se développe mal dans les pays très-froids et dans ceux très-chauds, et bien dans ceux tempérés, 210. — Ce qui caractérise le tempérament bilieux, et pays qui y est le plus propre, 212, 213. — Observations des anciens sur les hommes du tempérament mélancolique, ibid. — À quelles saisons ils rapportent ce tempérament, 216. — À quel point on peut réduire l’action du climat sur sa production, 218. — Considérations pour fixer les idées sur ce que l’influence du climat, et la production des maladies, tiennent beaucoup a l’influence du premier sur la formation des tempéramens, 219, 220. — Le tempérament caractérisé par la prédominance des fluides sur les solides, paroît être celui sur lequel l’action du climat est plus remarquable, 235. — Circonstances qui rendent ce tempérament si commun dans certains pays, 236. — Maladies particulières à ces pays, 237. — Des tempéramens acquis, 525. — Leur source : on peut les considérer sous deux points de vue différens, 526. — La seconde classe rentre dans celle des tempéramens primitifs ou naturels, ce que c’est que le tempérament naturel et celui acquis. 527. — Quelles sont les causes capables de changer ou de modifier le tempérament, 528. — Les changemens, introduits dans le corps par les maladies, peuvent être portés au point d’imprimer de nouvelles habitudes aux organes, ou de développer de nouveaux tempéramens, 532. — Rapprochement et éloignement les uns des autres des tempéramens, 533. — Il est