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Signes. Ils servent à distinguer et à comparer les sensations et les pensées, I, 72, 73. — Différentes espèces de signes pour cet objet, 74.

Solides. Sur la proportion entre la masse totale des solides et celle des fluides. I, 504. — Division des maladies en celles des fluides et en celles des solides, 507. — Comment on divise celles-ci, 508. — Des maladies communes aux fluides et aux solides, 509. — Effets de celles qui dégradent les solides, 556. — Effets de la tension des parties solides, Il, 103, note.

Sommeil. Observations sur sa théorie, l, 68. — Le sommeil n’est point une fonction passive, 182. — Ce qui le rend plus nécessaire à l’un qu’à l’autre, 195. — Ce qui peut en tenir lieu chez certaines personnes, 196. — Ce qui résulte d’un sommeil habituellement trop prolongé, II, 153. — Application des effets du repos à ceux du sommeil, 128. — Observations contenant de bonnes règles d’hygiène relativement à l’emploi du sommeil, 150. — C’est une fonction particulière du cerveau ; ce qui le favorise, et comment il opère, 131. — Tous les organes dont il fait cesser l’action, ne s’endorment pas à-la-fois, 135. — Certaines contractions musculaires deviennent plus fortes, à mesure que le sommeil devient plus profond, 154. — Effets différens du sommeil, suivant les individus, 135. — Ce qui se passe au début et pendant toute la durée du sommeil, II, 436. — Périodicité de son retour, et d’où elle dépend, 458. — Ce qui produit un sommeil profond, plus ou moins subit, 459. — Ses autres causes, 460. — Ce qui le constitue et le caractérise, et comment il s’opère ; ses phénomènes, 461. — Ce n’est point une fonction purement passive, 462. — Le sommeil des sens, 463. — Ce qui se passe à l’égard du poumon pendant le sommeil, 464. — Ce qui se passe à l’égard des viscères abdominaux, 465 ; à l’égard des fonctions des organes extérieurs, 466. — Habitudes particulières de certains individus pour le sommeil ; exemples, 467. — Effets de la volonté pendant le sommeil, 468. — Manière dont les organes de la génération sont excités pendant le sommeil, 469. — À quoi on peut attribuer les effets qui s’ensuivent, 470. — C’est sur-tout au sommeil lui-même, 471. — Nouveaux rapports de sympathie qui s’établissent, pendant le sommeil, entre les organes tant internes qu’externes, sur-tout entre ces derniers, ibid. — Preuves, 472. — Il est des affections nerveuses qui impriment, dans le temps du sommeil, à l’estomac et aux