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étrangers aux grands mouvemens musculaires. 126. — Application des effets du repos au sommeil, 128.

Respiration Ce que ce n’est pas, et ce que c’est, I, 443. — Ce que sont ses organes dans les premiers momens de la vie, II, 349.

Rétine. Sa description, I, 215.

Rêves. D’où ils dépendent, et ce qu’ils produisent, I, 112. — Il y en a qui prennent le caractère du cochemar, 179. — Par quel genre d’impressions et dans quel état de l’économie animale les rêves sont produits, II, 477. — Comment ils arrivent, 478. — Pourquoi nous avons quelquefois en songe des idées que nous n’avons jamais eues ; exemples, 479.

Révolution. Qu’est-ce qui occasionne les chocs révolutionnaires, l, préface, xxix.

Rhythme. Celui du chant et celui des vers, rendent l’un et l’autre les perceptions de l’ouïe plus distinctes et leur rappel plus facile, I, 228, 229.

Romains. En détruisant la liberté chez les Grecs, ils ont arrêté les progrès que promettoit à ces derniers, le génie de leur langue si supérieure à toutes celles d’Europe, II, 273.

S

Sage (le). Ce qu’il fait pour étendre son étroite et passagère existence, I, préface, xxxviii.

Saignée. Celles abondantes énervent et accablent rapidement les portefaix et les hommes de peine ; des purgatifs inconsidérément employés, produisent chez eux le même effet, I, 473. — Quelle a été l’intention des fondateurs d’ordres, en prescrivant des saignées plus ou moins fréquentes à leurs religieux, II, 60. — Vogue qu’a donnée Botal à la saignée, longtemps avant l’admission, dans les écoles, de la circulation du sang, 112, note. — Effets des saignées abondantes, 208.

Saignement de nez. Chez les enfans, I, 274. — Son époque est renfermée entre l’âge de sept ans et celui de quatorze, 276.

Saisons. Elles ont une grande influence sur l’état de l’économie animale, II, 181. — Leur influence n’est pas la même dans tous les climats, 184.

Scélérats. Leurs caractères particuliers, tant au physique qu’au moral, II, 104, note.

Sciences et Arts. Manière de les considérer, I, 1. — Comment les anciens les considéroient, 2. — Il en est qui sont