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Ouïe. Sa description, I, 214 — C’est par l’ouïe et par la vue que nous viennent les connoissances les plus étendues, et la mémoire de ces deux sens est la plus durable, comme la plus précise ; mais une circonstance particulière donne à l’ouïe beaucoup d’exactitude : c’est la propriété de recevoir et d’analyser les impressions du langage parlé, 226. — Autre circonstance qui paroît encore beaucoup influer sur les qualités de l’ouïe, le chant, 227. — Le rhythme du chant et celui de la poésie rendent l’un et l’autre les perceptions del’ouïe plus distinctes, et leur rappel plus facile, 229. — Comment se fait l’audition, ibid. — Preuve directe pour l’ouïe, que ce sens a sa mémoire propre, 232. — Les souvenirs de l’oreille peuvent se renouveler plusieurs fois, 233, note. — L’ouïe est quelquefois originairement fausse ; quelle en peut être la cause, II, 33. — Ce qui dénature ses fonctions, 385. — L’organe de l’ouïe prend moins de part que les autres sens aux déterminations de l’instinct, 422.

Ovaires. Substances organiques el extraordinaires qui s’y forment, I, 150, — Humeur particulière qui s’y forme, 336. — Sur leurs corps jaunes, ou corpora lutea. ibid. — Ils n’ont point de canaux sécrétoires, 345, note.

Oxygène. Ce que produit sur le corps l’addition dans l’air d’une certaine quantité d’oxygène, II, 48. — Quantité proportionnelle d’oxygène, qui entre dans la combinaison de l’eau, 91, note.

P

Pâles couleurs. Voyez Chlorose.

Paralysie. Les maladies paralytiques ; effets qu’elles produisent dans certains cas, II, 38.

Parties. Inconstance des rapports entre les parties, quant à leur grandeur, ou différence de leur volume relatif, I, 437. — Externes ou internes, elles n’agissent pas toutes, à beaucoup près, au même degré sur le cerveau, Il, 11. — La sensibilité des parties internes peut subir de grandes variations par l’effet des maladies, 15.

Parties génitales. Elles sont très-souvent le véritable siège de la folie, I, 107. — Rapport très-étendu que l’odorat paroît avoir avec ces parties, 223. — Leur relation avec les organes de la poitrine, dans l’adolescence, est prouvée par tous les faits de pratique, 278. — Différences entre les parties sexuelles de l’homme et celles de la femme, 321. — Temps où ces différences se font remarquer, 322. — Dans l’enfance, l’état des parties génitales est à-peu-près le même