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intéressante pour lui et pour le médecin, I, préface, vij. — Comment il acquiert la connoissance de l’homme moral, ibid. xj. — Ce qui lui indique les bases les plus solides sur lesquelles il peut fonder ses leçons, II, 3.

Morsure. Effets de la morsure de certains animaux, II, 79.

Mort. Effets de celle senile, I, 260, 312. — Pour un esprit sage, la mort est le soir d’un beau jour, 309. — Sensations qui l’accompagnent suivant l’âge où elle arrive, et le caractère de la maladie qui l’amène, 310. — Les circonstances physiques, qui caractérisent les maladies, et le genre de mort, par lequel elles se terminent, ont plusieurs rapports avec l’état moral des moribonds, 312. — Idées de Bacon sur l’art de rendre la mort douce, art qu’il regardoit comme le complément de celui d’en retarder l’époque, 313. — Les anciens ont dit que si la vie est la mère de la mort, la mort, à son tour, enfante et éternise la vie. Ce que c’est que la mort, II, 298. — Opérations de la nature dans le passage de la mort à la vie, et dans celui de la vie à la mort. Exemples, 299, 300.

Mouvement (les). Sur ceux volontaires et involontaires chez l’homme, I, 93. — Examen des trois questions suivantes : Le sentiment est-il totalement distinct du mouvement ? Est-il possible de concevoir l’un sans l’autre ? N’ont-ils d’autre rapport que celui de la cause à l’effet ? 201. — En quoi consiste et d’où dépend la faculté de se mouvoir et de sentir, 154. — C’est aussi par les mouvemens que l’action spontanée du système nerveux agit, 170. — Faits et expériences qui le prouvent, 171 et suiv. — Rapports directs entre la manière dont le sentiment se forme, et celle dont le mouvement se détermine, 193. — Ce qui résulte de ces rapports alternatifs des forces sensitives et des forces motrices, 194. — Exemples à ce sujet, 195. — L’énergie et la persistance des mouvemens se proportionnent à la force et à la durée des sensations, 198. — Les habitudes du système musculaire, ou moteur, sont dans une espèce d’équilibre singulier avec celles du système nerveux ou sensitif, 199. — Résultats à ce sujet, 200. — À mesure que les sensations diminuent ou deviennent plus obscures, on voit souvent les forces musculaires augmenter, et leur exercice acquérir un nouveau degré d’énergie. Exemple, 203. — Ce qui se passe quand un membre se meut, 205. — Tout est sans cesse en mouvement dans la nature, ce qui en résulte, 234, 237. — Immense varieté des combinaisons que le mouvement re-