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Midi (homme du). Différences entre eux et ceux du Nord, II, 35.

Mineurs. Habitudes et travaux des mineurs, II, 264.

Minutio monachi. Ce que c’étoit chez les moines, II, 60.

Missionnaires (les). Ce sont leurs cris menaçans ou pathétiques, plutôt que leurs discours et leurs raisonnemens, qui subjuguent leur auditoire, II, 424.

Modernes. En substituant aux causes occultes des anciens d’autres explications, ils ont donné naissance à des erreurs plus graves, et ont souvent personnifié de pures abstractions, I, 327.

Moelle alongée. Elle est un des principaux organes du sentiment, I, 64.

Moelle épinière. Elle est un des principaux organes du sentiment, I, 65. — Son influence suffit, après la destruction du cerveau, pour faire vivre les viscères de la poitrine et de l’abdomen, 149. — En quoi consiste son intégrité, 187.

Moi. Ce que c’est que le véritable moi, et où il réside, II, 342. — Preuves données par M. de Tracy que le moi réside exclusivement dans la volonté, 361. — C’est du moi que dérive la sympathie, 412.

Monde moral. Ordre qui y prédomine, I, 493. — Il est presque tout entier soumis à la direction de l’homme. 496.

Monde physique. Ordre qui y régne, I, 493. — D’où dépend son perfectionnement chaque jour, relativement à nous, 495. — Sur l’ordre qui règne entre les grandes masses de ce monde, 496. — L’influence de l’homme sur ce monde est foible et très-bornée, ibid.

Moral (le). Relations immédiates du physique et du moral chez l’homme, I, 44 et suiv. — Influences des âges sur les affections morales, 237. — Influences des sexes sur les affections morales, 515. — Influences des tempéramens sur les affections morales, 404. — Observationsà ce sujet, II, 28, 29. — Pendant un paroxysme fébrile, les dispositions morales correspondent exactement avec celles des organes, c’est-à-dire, avec tous les phénomènes physiques, 44. — Influence des maladies sur les affections morales, I, 492. — Comment elles se forment, 501. — Ce sont les maladies spasmodiques qui nous montrent le plus clairement chez l’homme les relations immédiates du physique et du moral, 519. — Observations importantes à ce sujet, 520. V. la morale. — Quelle est la circonstance qui paroît modifier le plus profondément l’effet moral direct des différens travaux. Remarques à ce sujet, II, 148. — De l’influence des