Page:Cabanis - Rapports du physique et du moral de l’homme, 1805, tome 2.djvu/693

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

des nuances seules les séparent. I, 282. — Quand elle commence, et phénomènes qui la caractérisent, 285. — Sur le passage de la jeunesse à l’âge mûr, 287. — À quelle époque l’homme semble commencer une nouvelle jeunesse, 300. — Exemples qui prouvent combien il peut être utile pour des vieillards languissans et pour des malades épuisés, de vivre dans une atmosphère remplie des émanations restaurantes qu’exhalent des corps jeunes et vigoureux, II, 420.

Jugement. À quoi peuvent tenir ses désordres, II, 439. — Comment les impressions, d’où se tire le jugement, sont transmises, et comment il se forme, 490.

L

Lait. Effets très-divers que son usage en aliment peut produire, II, 71. — Sur la diète lactée pure, 72. — Effets très-divers que produit l’usage du lait dans certains tempéramens et dans certaines maladies, 73. — Autres considérations sur son usage, 74. — L’expérience avoit appris aux anciens Grecs, que l’effet du lait n’est pas le même pour le malade, lorsqu’il le prend reçu dans un vase, 420.

Langage parlé. L’ouïe contracte beaucoup d’exactitude par la propriété qu’il a de recevoir et d’analyser les impressions du langage parlé, I, 226. — Ce fut lui qui donna des lois aux hommes. Il, 271.

Langue. Description de ses nerfs, I, 213.

Langues (les). On ne pense pas sans le secours des langues, qui sont des méthodes analytiques, selon Condillac ; développement de cette idée, I, 72. — Différence des langues rapportée à celle des climats, II, 270. — Leur influence sur les idées, et comment elles gouvernent les hommes, 271. — Différence entre le peuple, dont la langue est bien faite, et celui dont elle est mal faite, 272. — Exemples tirés des Grecs, des Romains et des Chinois, 273. — C’est l’écriture qui fait prendre aux langues une forme régulière, ibid. — Ce qui est nécessaire pour apprécier une langue, 274. — Sur la langue chinoise, ibid. — Si la différence des langues dépend véritablement, à plusieurs égards, de l’influence des climats, 275. — La nature des impressions habituelles a dû modifier l’instrument qui sert à les combiner et à les reproduire, 276. — Traits d’analogie entre les langues et les climats des nations qui les parlent, 277.