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partiennent, 394. — Première classe des déterminations instinctives, et plusieurs exemples, 395, 396. — Deuxième classe, penchans produits par le développement de certains organes ; exemples, 397. — La sympathie est en quelque sorte l’instinct lui-même, 405. — Exemples de celui de conservation et de celui de nutrition, 406, 408. — Chez les oiseaux, c’est aux fonctions des yeux que sont particulièrement liées la plupart des déterminations de l’instinct, 416. — L’odorat est le principal organe de l’instinct chez certains animaux, 417. — L’ouïe prend moins de part que les autres sens aux déterminations de l’instinct, 422. — La chaleur vivante sert dans plusieurs cas de guide à l’instinct ; faits bien ronstans qui le prouvent, 426.

Institut national. Sur son établissement, I, 4. — Ce qu’il offre dans la distribution de ses différentes classes, 5. — Ces mots grecs, si celèbres dans l’antiquité, γνωθι σεαντον, sont très-dignes de servir d’inscription à la salle de l’Institut national, 161.

Intérêt général. Celui de chaque individu ne peut être séparé de celui des autres, I, préface, xxxij.

Intestins. Rapports qu’ont entr’eux les intestins et l’odorat, II, 385. — Dans plusieurs affections du canal intestinal, chaque sens en particulier peut se garantir de leurs désordres, 441. — Effets de l’état de spasme des intestins, 443.

Irritabilité. Ce que c’est, et d’où elle dépend, I, 87. — En examinant attentivement la question de l’irritabilité et de la sensibilité, ou voit bientôt que ce n’est guère qu’une question de mois, 90. — L’irritabilité des muscles est d’autant plus considérable, que le corps est moins éloigné du moment de sa formation, 263. — Sa différence avec la sensibilité, II, 338, note.

Ivresse. En quoi diffère celle occasionnée par les boissons fermentées, de celle qui suit l’usage des substances narcotiques et stupéfiantes, II, 95.

J

Jeûne (le). Quelle étoit l’intention des fondateurs d’ordres monastiques, en prescrivant le jeûne et l’abstinence à leurs religieux, II, 61.

Jeunesse (la). Elle n’est que le complément de l’adolescence ;