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vive et brillante, II, 31. — Imagination frappée ; ce que fit alors Galien, 440. — Ses effets chez les hommes et chez les femmes, 443. — Il n’est pas d’organes qui soient plus soumis au pouvoir de l’imagination, que ceux de la génération ; effets qui en résultent, 495. — L’action de la sensibilité y est également soumise, 496.

Imbécilles. Ce que Pinel dit avoir observé plusieurs fois chez les imbécilles, II, 447. — Dépression notable chez eux de la voûte du crâne ; inductions qu’on peut en tirer, 448. — Ce qu’on a observé dans les cadavres des sujets morts en état de démence, 449. — À quoi tient l’imbécillité, 475.

Imitation (faculté d’). Ce que c’est, II, 431. — À quoi tient celle d’imiter autrui. 432. — La faculté d’imitation est le principal moyen d’éducation, 435.

Impiété. Mot dont abusent les imaginations foibles ou prévenues, quand les sciences viennent leur enlever quelque retranchement des causes finales, II, 570. — Quels sont ceux à qui ce reproche s’appliqueroit avec plus de fondement, ibid.

Impressions. Elles peuvent se communiquer d’un être sensible à d’autres. I, préface, xix. — Elles diffèrent chez les individus et suivant les objets qui les excitent, 42. — Tous les mouvemens vitaux sont le produit des impressions reçues par les parties sensibles, 86. — Les impressions n’ont pas lieu d’une manière uniforme, 104. Voyez Sensations. — Les psychologues et les physiologistes ont rangé les impressions, par rapport à leurs effets généraux dans l’organe sensitif, sous deux chefs, le plaisir et la douleur, 140. — Ce que peuvent produire les impressions agréables et celles douloureuses, 142. — Ce qui esl nécessaire pour que les impressions soient reçues et agissent convenablement, 192. — À quoi tient la différence des impressions, 210. — Elles doivent toutes se rapporter au tact, 211. — Comment on peut expliquer les impressions différentes de la vieillesse, de l’âge mûr et du premier âge, 304. — Ce qui doit résulter des impressions vives, multipliées ou profondes, d’une part, et des impressions rares, engourdies el languissantes, de l’autre, 476. — Elles n’agissent pas toutes au même degré sur le cerveau, 502. — Ce qu’il faut pour qu’elles soient transmises d’une manière convenable, 504. — Parmi les impressions qui nous viennent de l’extérieur, il en est un grand nombre qui sont immédiatement soumises à l’influence du régime, etc., II, 10. — Résultats des impressions qui sont la suite des mouvemens organiques, 119.