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Icthyophagie. Voyez Poissons.

Idéologie. Travail de Garat sur ce sujet, I, préface, xvj, note. — Élémens de cette science, par M. de Tracy, ibid. — Progrès que lui a fait faire la philosophie du dix-huitième siècle, II, 371.

Idées. Locke a le premier exposé et prouvé cet axiome, que toutes les idées viennent par les sens, ou sont le produit des sensations, I, préface, xv. — Sur les idées relatives à la morale publique, ibid. xxx. — Preuves qu’elles ne dépendent pas uniquement de ce qu’on appelle les sensations, I, 105 et suiv. — Faits généraux qui résolvent la question dans certaines dispositions des organes internes, et notamment des viscères du bas-ventre, 106. — La classification et la décomposition des idées, qui dépendent particulièrement des impressions internes, est évidemment impossible dans l’état actuel de nos lumières, 115. — S’il est possible d’obtenir un jour, sur cet objet, des lumières plus étendues, ce n’est que dans la physiologie et dans la médecine qu’on pourra les trouver, 116. — L’ordre, établi par la nature sur ce point, est extrêmement favorable à la conservation et au bien-être des animaux, 117. — Les idées, qui dépendent des déterminations, doivent être rapportées aux impressions intérieures, suite nécessaire des diverses fonctions vitales, 134. — Ce qu’ont dit à ce sujet Locke et ses disciples, 135. — De l’influence des âges sur les idées et sur les affections morales, 237. — De l’influence des sexes sur le caractère des idées et des affections morales, 315. — De l’influence des tempéramens sur la formation des idées et sur les affections morales, 404. — De l’influence des maladies sur la formation des idées et sur les affections morales, 492. — Comment elles se forment, 501. — Sur les fausses associations d’idées qui ne constituent pas toujours une véritable folie, II, 476. — Pourquoi nous avons quelquefois en songe des idées que nous n’avons jamais eues, 479.

Illuminés. À quoi tiennent leurs visions, I, 146 et note.

Imagination. Comment s’exécutent ses opérations, 1, 168. — Pourquoi la puissance de l’imagination, et sa réaction sur certains organes, est plus complète pendant le sommeil que durant la veille, 185. — Ce que suppose une imagination