Page:Cabanis - Rapports du physique et du moral de l’homme, 1805, tome 2.djvu/686

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Homme. L’étude de l’homme physique, intéressante également pour le médecin et pour le moraliste, I, préface, vij. — La morale, partie essentielle de ses besoins, ibid. xxxij. — Combien il est important de lui faire prendre de bonnes habitudes, ibid. xxxiv. — Il est né pour la vérité, xxxvj ; et pour la vertu, ibid. xxxviij. — Considérations générales sur l’étude de l’homme, et sur les rapports de son organisation physique avec ses facultés intellectuelles et morales, 1. — Ce qu’on peut appeler, à juste titre, la science de l’homme, 7. — D’où dépendent ses besoins, et comment ils sont éveillés, ibid. — Cumment il est déterminé à agir, et comment ensuite il agit, 8 — Trois objets principaux, dans les premiers temps de l’histoire, ont été le sujet des occupations des hommes qui cultivoient la sagesse, vers l’établissement des peuples libres de la Grèce, 11. — Ces objets étoient l’homme sain et malade, les arts et la philosophie rationnelle, et leurs rapports mutuels, ibid. — Autres objets qui les occupoient en même temps. 12. note. — Ce que furent pour eux les théogonies, 12. — Les hommes ne se ressemblent pas par la manière de sentir, 43. — Remarques des anciens sur les rapports du physique et du moral chez l’humme, 44. — Division de ses besoins en physiques et en moraux, 72. — La sensibilité physique est la source de toutes les idées et de toutes les habitudes qui constituent l’existence morale de l’homme, 84. — Le mouvement est pour l’homme le véritable signe de la vitalite, 93. — Il est notoire et prouvé que, chez l’homme, les nerfs sont le siège particulier de la sensibilité, 96. — Vérites qui en résultent, 100. — D’où viennent chez l’homme les impressions et les sensations, 104. — Phénomènes de la puberté chez l’homme, 108. — Pourquoi chez lui l’instinct est moins étendu, moins puissant, moins éclairé même, que chez les animaux, 135. — Deux genres bien distincts d’impressions chez les animaux, et chez l’homme en particulier, 137. — L’homme, à la tête des animaux, participe de leurs facultés instinctives, 138. — Il y a, selon Sydenham. dans l’homme un autre homme intérieur ; c’est l’organe cérébral, 182. — Comment on peut juger de l’état du systême célébral, par l’observation de l’homme sain et malade. 191, — Pourquoi les hommes très-sensibles sont en général foibles, 192. — Pourquoi ceux moins sensibles ont des forces musculaires plus considérables, 203. — L’homme, ainsi que la plupart des animaux, se propage par le concours de deux êtres, 318. —