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quement l’homme el la femme pour la perpétuation paisible et sûre de l’espèce, 353. — Devoirs mutuels de l’un et de l’autre, 354. — Il paroît que la conception a plus souvent lieu dans un certain état de foiblesse de la femme, 355, note. — Sa vie est presque toujours une suite d’alternatives de bien-être et de souffrances ; trop souvent celles-ci dominent, 356. — À raison de sa foiblesse, elle a dû toujours rester dans l’intérieur de la maison ou de la hutte, 357. — Elle doit agir sur l’homme par la séduction de ses manières, 358. — Elle seule est capable, à raison du genre de sensibilité qui lui est propre, de donner des soins à la première enfance, 363. — Différences qui s’observent dans la tournure des idées ou dans les passions de l’homme et de la femme, ei qui correspondent aux différences qu’on remarque dans l’organisation des deux sexes et dans leur manière de sentir, 365. — Manière dont la femme juge les objets, 366. — Elle doit se réserver cette partie de la philosophie morale qui porte directement sur l’observation du cœur humain et de la société, 367. — Des femmes savantes, ou qui ont des prétentions à la science, 368. — Des philosophes qui, ne tenant aucun compte de l’organisation primitive des femmes, ont regardé leur foiblesse physique elle-même comme le produit du genre de vie que la société leur imprime, et leur infériorité, dans les sciences ou dans la philosophie abstraite, comme dépendant uniquement de leur commune éducation, 370. — Ce que J. J. Rousseau a dit des femmes, 371. — Ce qu’a dit d’elles M. Roussel, auteur du Système physique et moral de la femme, 372. — Orgasme nerveux qui accompagne la première éruption des règles, 377. Celui qui accompagne l’état de grossesse, 378. — Le temps de la cessation des règles est une époque importante dans la vie des femmes. 385. — Action alors de l’utérus et de ses dépendances sur tout le système, et notamment sur Ie cerveau, 386-387. — Effets des affections nerveuses générales, déterminées par celles des organes de la génération chez les femmes, 517. — Exemples des effets les plus singuliers chez les femmes sur les organes des sens, dans les maladies extatiques et convulsives. 552, 553. — Résultats d’une puberté précoce, plus remarquables chez les femmes que chez les hommes, II. 268.

Fer. Il peut être regardé comme un véritable spécifique contre les pâles couleurs, 1, 349. — Erreurs à ce sujet, ibid.

Fibre charnue. Si elle est le produit immédiat de la pulpe