sujet, 150. — Considérations générales que présente l’état des organes chez les enfans, 261. — Développement des organes chez l’enfant, 265. — La vie s’exerce chez lui partout et sans cesse d’une manière égale ; elle y prend chaque jour une nouvelle consistance, 266. — Il y a quelque chose de cunvulsif dans les passions, aussi bien que dans les maladies de l’enfant, 271. — Les idées et les sentimens les plus généraux de la nature humaine se développent, pour ainsi dire, à l’insu de l’enfant, 272. — Tableau de ce qui se passe chez l’enfant, depuis l’époque de sept ans jusqu’à celle de quatorze, 273. — Maladies propres au premier âge, 274. — Cette époque est la plus décisive pour la culture du jugement, 277. — État de l’enfant nouveau né, et secours dont il a besoin, 355. — La femme seule est capable de lui donner ces secours, 357. — Sa longue enfance exige des soins continuels et délicats, que l’homme est incapable de lui donner, 361. — La femme seule est capable de les lui donner, 363. — Attrait particulier qu’ont pour les enfans les jeunes filles, même avant leur nubililé, 389. — Ce qui se passe chez l’enfant nouveau né, à la première époque de son âge, 456. — Ce qui est particulier aux enfans dans les pays chauds, II, 24. — D’où dépend chez eux l’apparition précoce de la puberté, ibid., note.
Enseignement. Qualités nécessaires pour instruire les autres, I, 27.
Entendement. Le tableau de ses procédés a été corrigé et amélioré par les disciples de Condillac, I, préface, xvj. — Questions premières qui présentoient toujours des côtés obscurs, préface, xvij.
Épiceries. Sur leur usage et leur abus, II, 108.
Épilepsie. Phénomènes de celle idiopathique, I, 175. — Phénomènes de celles dites sympathiques, 176.
Equitation. Ses effets, II, 108.
Érection. L’état d’érection, dans lequel on trouve certains cadavres, ne dépend pas de la vertu aphrodisiaque de l’opium, II, 85. — Il est la suite de l’état convulsif produit par l’ivresse de l’opium, 471.
Esprits ardens, ou liqueurs spiritueuses. Effets de leur boisson, II, 100. — Dans quel pays elles sout utiles, 101. — À quel tempérament, dans quelles maladies elles peuvent convenir, 102. — Maux qu’occasionne leur abus, ibid.
Estomac. Comparaison entre les fonctions qu’exécute l’estomac et celles du cerveau, I, 153, 154. — Par sa grande influence sur toutes les parties du système nerveux, l’es-
