Écriture. C’est elle qui fait prendre une forme régulière aux langues, II, 213.
Écrouelles. L’époque de la puberté est plus tardive chez les enfans écrouelleux, I, 558.
Éducation. Éducation individuelle ; ses principes, I, préface, xxxj. — Ce que c’est, sa division en deux, celle qui agit directement sur le corps, et celle qui s’occupe plus particulièrement des habitudes morales ; développement des effets de la première, 78. — Le régime doit y être compris, 79.
Effet. C’est du concours de toutes les causes ou de toutes les forces agissantes, que résulte tout effet connu, II, 10.
Électricité. Ses phénomènes sur l’économie animale, I, 423. — Le cerveau est une espèce de condensateur, ou plutôt un véritable réservoir d’électricité et de phosphore, 424. — Il en est de même de tout le système nerveux, ibid. — Les condensations d’électricité qui s’y produisent, paroissent ne pas se dêtruire tout-à-coup au moment même de la mort, ibid. — Sur les rapports entre le phosphore et le fluide électrique, 425. — Les phénomènes galvaniques sont dus à la portion d’électricité retenue dans les nerfs, qui s’en dégage plus ou moins lentement à raison des circonstances, ibid. — Ce qu’on doit penser des phénomènes dépendans de l’accumulation du fluide électrique universel, 426. — Sur l’identité de la cause du galvanisme avec le fluide électrique, 427, note. — Expériences de Volta, 430, note ; ibid. II, 346. — Comparaison de l’influence du magnétisme animal sur le corps, à celle de l’électricité, I, 347. — Les appareils électriques offrent un exemple de l’accroissement de force et d’aptitude, occasionné par la prolongation ou par le retour assidu des mêmes opérations, 433.
Émanation. Voyez Odeur.
Embryons. Nature des matériaux dont ils se forment dans la vie végétale et dans celle animale, II, 297.
Encyclopédie. Celle anglaise, I, 3, note. — Celle française ; travaux des philosophes français à ce sujet, 3.
Enfant. Ce qui arrive à celui qui vient de naître, et changemens qu’il éprouve, I, 122. — Sur la succion du lait, 123. — Sur les passions qui se succèdent d’une manière si rapide, et se peignent avec tant de naïveté sur le visage mobile des enfans, 124. — D’où elles dépendent, 125. — Ce qui arrive à l’enfant acéphale, et à celui dont l’état du cerveau empêche entièrement la pensée, 149. — Exemple à ce
