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position est vraie à plusieurs égards, 276. — La nature des impressions habituelles a dû modifier l’instrument qui sert à les combiner et à les reproduire, 276. — Traits d’analogie entre les langues et le climat des nations qui les parlent, 277. — L’effet du climat n’est pas le même pour le riche et pour le pauvre, et pour les différentes classes d’artisans, 278, note. — Vraie doctrine d’Hippocrate sur les habitudes morales des peuples, 279. — Preuve tirée de son Traité des Airs, des Eaux et des Lieux, 281. — Le climat considéré comme cause capable de changer ou de modifier le tempérament, 541. — Genre de climat capable de produire le tempérament phlegmatique, 543. — Comment le climat change, altère et modifie le tempérament, 549. — C’est de la puissance du climat que dépend, à beaucoup d’égards, celle du régime ; preuves. L’effet des alimens et des boissons sur les habitudes organiques, semble ne pouvoir être complet, que lorsqu’il est fortifié par celui du climat, 550.

Cochemar. Phénomènes qu’il présente, I, 179. — Circonstance particulière où il a lieu, 180.

Cœur humain. Ce qu’il est dans la nature, et ce qu’il produiroit si on interrogeoit avec docilité cet oracle, I, 401. — Sur sa formation au physique, II, 351.

Combinaison. D’où dépend sa nature, et exemples, II, 389-390.

Combustion. Théorie de la combustion comparée à celle de la chaleur animale, I, 279, note.

Commerce. Grand bien qu’il a produit, après la découverte de la route des Grandes-Indes et de celle de l’Amérique, II, 104. — Changemens que les relations commerciales avec les deux Indes ont introduits dans le régime des peuples européens, 105. — Influence morale et heureux effets du commerce sur l’état de l’Europe, 111. — Ce qui détermine la nature du commerce dont chaque peuple s’empare, 263.

Concentrations. Celles, soit de la sensibilite, soit du mouvement ; leurs phénomènes démontrés par les observations les plus simples el par les expériences les plus faciles, I, 174. — Ce qu’elles annoncent dans certaines fièvres malignes, 177.

Conception. Il paroît qu’elle se fait plus facilement et plus souvent dans un certain état de foiblesse de la femme, I, 355, note.

Consomption. Effets que produisent les consomptions suppu-