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certains animaux, le principal organe de l’instinct et de la sympathie, est l’odorat, 417. — Sur les émanations que répandent les animaux jeunes et vigoureux, 419. — Sur la sensibilité des parties des animaux, 498, note.

Anthropologie. Ce que les Allemands entendent par ce mot, I, 7, note.

Anthropophage. Remarque à ce sujet, sur les peuples chasseurs, II. 7, note.

Antipathie. La sympathie et l’antipathie ramenées à un seul et unique principe, l, préface, xx. — Les déterminations instinctives qui appartiennent à l’antipathie sont liées aux fonctions de l’organe et de l’odorat, II, 421. — Preuves tirées de plusieurs animaux, ’'ibid.

Apoplexie. Dans les sujets disposés à l’apoplexie, a dit Bordeu, les extrémités forment une espèce de conjuration contre la tête, en y poussant avec violence les humeurs, ou peut-être en dirigeant vers elle, l’action d’autres causes d’un mouvement excessif, 1, 300.

Arbres. Végétations qui se forment sur les arbres malades, et qu’on n’y découvre point dans l’état de santé, II. 293.

Arsenic. Son usage dans le Nord, et contre la morsure des serpens du Bengale, II, 244.

Art. Ce qu’il peut sur la nature, I, 77. — L’art a su trouver les moyens de fixer les modifications accidentelles et factices des corps organisés, et comment, II, 7.

Artères. Elles sont véritablement le siège de l’inflammation, de la fièvre, I, 531.

Arts et Sciences. Manière de les considérer, I, 1. — Comment les anciens les considéroient, 2. — Il en est qui sont plus ou moins utiles, suivant le point de vue sous lequel on les envisage, 5.

Asie. Comparaison du sol de l’Asie avec celui de l’Europe, par Hippocrate. II, 166. — Ce qu’il a dit dans son Traité des Airs, des Eaux et des Lieux, des habitudes des Asiatiques, II, 281.

Aspic. Effets de sa morsure, II, 79.

Assoupissement. D’où il provient, II, 458.

Athlètes. Ils passoient pour des hommes qui ne regardoient pas de si près aux choses, I, 471. — Hippocrate observe que le dernier degré de la force athlétique touche de près à la maladie, et il en donne une bonne raison, 472.

Attraction. Ses effets dans les substances qui jouissent d’une