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grand homme de l’antiquité n’a été amoureux, 400. — Leurs recherches sur l’homme physique et sur l’homme moral, 406. — Leur doctrine sur les tempéramens en a été le fruit, 407. — Dans quel cas on peut et on doit les consulter, 408. — Ce qu’ils ont établi sur ce qui constitue chacun des quatre tempéramens, 464 et 465, notes. — Ce qu’ils appeloient la fièvre continente, 532. — Leurs systèmes sur les fièvres, 539. — En se trompant dans leurs hypothèses générales, ils avoient souvent raison dans les applications, 540. — Effets qu’ils attribuoient à la diététique, et sur-tout à la gymnastique, II, 13. — Les anciens médecins se sont efforcés de rattacher leur système des humeurs à celui des élémens, et celui des tempéramens à l’un et à l’autre, 182. — Ils n’ont pas fait difficulté d’établir des analogies directes entre les tempéramens, les climats et les âges, mais sur-tout entre les saisons et les tempéramens, 183. — Leurs dires à ce sujet, 184. — Leurs observations sur les causes du tempérament mélancolique, 213. — À quelle saison ils rapportoient ce tempérament, 216. — Remarques sur les vues des anciens à ce sujet, 217. — Ils ont dit que si la vie est la mire de la mort, la mort, à son tour, infante et éternise la vie, 258. — Les anciens connoissoient très-bien les folies qu’on ne peut rapporter à des causes organiques sensibles, 453.

Animalcules microscopiques. Ce que c’est, et à quoi ils servent, II, 309.

Animaux. Faits de leurs petits, relatifs à leur structure particulière, aux progrès qu’ils ont faits dans la vie, et au rôle qu’ils doivent y remplir, I, 126 et suiv. — Suite d’actions des animaux dans le temps qui précède la maternité, 131. — Pourquoi l’instinct dans les animaux, est plus étendu, plus puissant, plus éclairé même que chez l’homme, et quelle en est la cause, 134, 135. — Deux genres bien distincts d’impressions dans les animaux en général, et dans l’homme en particulier, source de leurs idées et de leurs déterminations morales, 137. — Premiers matériaux de l’animal, 142. — Principe ou faculté vivifiante que la nature fixe dans les liqueurs séminales, pour l’organisation des animaux, 245. — Les jeunes animaux semblent tenir encore à l’état végétal, dont ils viennent de sortir, 249. — Opérations successives qui les développent, 250. — Dans la suite d’opérations, qui font vivre et développent le végétal et l’animal, l’existence et le bien-