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qui existe entre le principe sucré et la matière alibile, II, 107. — La nature et le caractère des alimens d’un pays, différent suivant les climats, 246. — Caractère que leur imprime le climat, 247. — L’effet des alimens sur les habitudes organiques, semble ne pouvoir être complet, que lorsqu’il est fortifié par celui du climat, 550. Effets de certains alimens, 551.

Allemands. Ce qu’ils entendent par le mot Anthropologie, I, 7, note.

Aloès. Ses effets, pris intérieurement, II, 79.

Amour. Il est fort étranger au plan primitif de la nature ; deux circonstances ont principalement contribué, dans les sociétés modernes, à le dénaturer par une exaltation factice, I, 398. — Ce qu’il n’est pas, et ce qu’il est suivant les anciens, 399. — Ce qu’il peut être sous le régime bienfaisant de l’égalité, 400. — L’amour, chez le mélancolique, prend mille formes diverses qui le dénaturent, 463.

Anatomie. Indication de celle de Boyer et de celle de Bichat. I, 85, note. — Les progrès véritables de l’anatomie ont été fort lents, 412 — Sous le point de vue purement anatomique, le corps vivant peut se réduire à des élémens très-simples, 414. — L’inconstance des rapports entre les parties, quant à leur grandeur, ou la différence de leur volume relatif, est un de ces faits anatomiques qui n’a été bien observé que par les anatomistes modernes, 437. — Le juste rapport, entre le volume des organes et leur énergie respective, constitue l’excellence de l’organisation, 438. — Application de cette règle aux parties de l’homme, 439. — À quelles causes peuvent tenir les variétés relatives au volume, ibid. — Comment quelques écrivains ont expliqué les différences que présentent les formes du corps humain, sa structure, et la direction de ses os, II, 192. — Pourquoi l’explication de Buffon paroît la plus vraisemblable, 193. — Fait entre la diversité des espèces, 194, note.

Anciens. Comment ils considéroient les arts et les sciences. I, 2. — Preuve que les anciens ont remarqué la correspondance entre le physique et le moral, 44-45. — Ce qu’ils ont vu et observé à ce sujet, 46 et suiv. — Humeurs primitives qu’ils ont cru voir dans le corps humain, et à chacune desquelles ils rapportoient les tempéramens, 54. — Ce qu’ils appeloient tempérament tempéré, 55. — Explication de la proposition de Bacon, qui dit qu’aucun