sur la formation des jugemens raisonnés et des idées, 135.
Lower. Observation sur une très-forte hémorragie qui a fini par fournir un fluide, dont l’odeur et le goût ont prouvé que c’étoit le jus même de la viande, dont on avoit nourri le malade, qui circuloit dans ses vaisseaux au lieu de sang, I, 255.
Marlborough (le duc de). Il fut sujet, dans sa vieillesse, à toutes les petites passions d’un enfant, I, 307, note.
Masson (dom). Ce qu’il dit, dans ses Annales de l’ordre des Chartreux, de la saignée des moines, II, 63, note.
Maine-Biran. Son Mémoire sur l’Habitude, l, préface, xvj, note.
Mead. Sa remarque sur le véritable diabétès, II, 107.
Mesmer. Comment il opéroit, et d’où dépendoient les effets de ses opérations, I, 146.
Montaigne. Il a observé sur lui-même que l’exercice donne un surcroit d’activité au cerveau, II, 117, note. — Observation qu’il rapporte sur l’utilité de la compagnie de la jeunesse, pour ranimer les vieillards languissans, 419.
Montesquieu. Ce qu’il a dit de certains peuples, qu’il faut les écorcher pour tes chatouiller, II, 37.
Mon Moreau (de la Sarthe). Sur son plan d’hygiène, I, 19, note.
Morgagni. Ses observations sur l’état du cerveau chex les sujets morts à la suite de folie, d’imbécillité ou de délire, I, 67.— Observation remarquable sur l’état du cerveau chez les fous, II, 450.
Narsès. Le seul grand homme, parmi les eunuques, dont le nom vive encore dans l’histoire, I, 386.
Newton. Sur ses découvertes astronomiques, II, 370.
Pascal. Ce qu’il dit de la violence et de la vérité, I, préface, xxix. — Effets de son imagination frappée, II, 444.
Pinel. Ce qu’il a observé et écrit sur les imbécilles, II, 447. — Ce qu’il a dit des folies qui dépendent plutôt de l’hygiène morale, que de la médecine proprement dite, 455.
Platon. Ses rêves en philosophie, I, 33.
Pline, le jeune. Il a observé sur lui-même que l’exercice donne un surcroît d’activité au cerveau, II, 117, note. — Son observation sur l’état de maladie, 128, note.
