moyens de s’y soustraire. Mais ce n’est pas ici, le lieu d’examiner en détail un sujet si étendu. Il sera plus à sa place dans un ouvrage sur le Perfectionnement de l’Homme physique.
Après avoir examiné sous tous les aspects, les modifications qu’apportent à notre manière de sentir, les principales circonstances qui accompagnent notre existence, il est à propos de revenir encore à l’histoire de nos sensations et des premiers actes de notre sensibilité, et d’achever d’éclaircir tout ce qui concerne ces opérations fondamentales.
Ainsi, il va être question dans ce Mémoire, de la vie animale, et des premières déterminations sensitives ; de l’instinct et des sympathies ; de la théorie du sommeil et du délire.
Ensuite nous parlerons, dans deux Mémoires séparés, 1°. de la réaction du moral sur le physique ; 2°. des tempéramens acquis, ou des formes accidentelles de l’économie animale, qui peuvent altérer le tempérament primitif.