sciences physiques, et de leur faire suivre une marche aussi sûre.
Le moment est favorable.
La science sociale, la morale privée, et l’éducation y gagneront également.
Au reste, on ne trouvera ici, ni applications à ces diverses sciences, ni discussions sur les causes premières. Il n’y sera question que de physiologie philosophique.
Considérations générales sur l’étude de l’homme, et sur les rapports de son organisation physique avec ses facultés.
C’est une belle et grande idée que celle de considérer toutes les sciences comme les rameaux d’une même tige.
Aucunes de ces branches ne sont unies plus étroitement, que l’étude physique de l’homme et celle des procédés de son intelligence.
C’est pour cela que l’Institut avoit placé des physiologistes dans la section de l’analyse des idées.
Nous sentons : et des impressions que nous recevons, dépendent à-la-fois, nos besoins et l’action des instrumens destinés à les satisfaire.
Nous sommes déterminés à agir, avant de nous être